Pourquoi j’ai créé le groupe privé Femmes sensibles – Détoxifiez vos relations pour plus de paix, socle des relations amoureuses et familiales épanouies

Pendant longtemps, j’ai cru que j’avais grandi dans la famille idéale. Mais au cœur d’une crise de milieu de vie, après une rupture amoureuse toxique, des séparations symboliques dans mon couple, plusieurs alertes de burn-out et de profondes remises en question, j’ai fini par voir les choses autrement. Ce que je prenais pour un cocon protecteur cachait en réalité un univers familial empreint de non-dits, de malaises et de transmissions inconscientes.

Dotée d’une sensibilité intense mais incomprise, j’ai grandi avec l’impression d’être « trop » et pas « comme il faut ». Ce qui, chez moi, relevait d’une qualité fine de perception, a souvent été perçu comme une vulnérabilité. Enfant, cette sensibilité exacerbée a intensifié mes troubles : un TSA léger (Trouble du Spectre Autistique) puis, à l’adolescence, un TDAH – des diagnostics qui, à l’époque, n’étaient que rarement évoqués. Les blessures enfouies et les secrets familiaux n’ont fait qu’accentuer ce décalage intérieur.

En travaillant sur moi, j’ai pu mettre à jour des blessures transgénérationnelles, des traumas hérités, et comprendre comment l’emprise d’un frère aîné dominant avait étouffé mon enfant intérieur. Sans surprise, ce schéma s’est rejoué plus tard dans certaines relations amoureuses toxiques, jusqu’à ce que je décide de le transcender. Ainsi j'ai pu travailler sur la relation en interne jusqu'à parvenir à me pardonner.

Se pardonner c'est oeuvrer pour récupérer toutes ses parts blessées dissociées lors de chocs répétés ayant créé des traumas ; et c'est aussi comprendre et faire preuve d'humilité car au départ nous ne voyons l'autre qu'à travers le prisme de nos blessures, or l'autre a également ses propres blessures héritées de la lignée familiale.

Mon premier burn-out parental a eu lieu à la naissance de mon troisième enfant. Ce sont pourtant mes enfants qui m’ont le plus enseigné : leur fonctionnement atypique, leurs défis sociaux, leurs périodes de crise ont été des miroirs puissants de mon propre cheminement. L’un de mes enfants a même connu une décompensation sévère de son TDAH et une addiction, que j’ai pu accompagner avec une intention constante : rester dans l’amour, tout en préservant ma propre vie.

Ce parcours m’a amenée à explorer le Reiki, la méditation, le Qi Gong, à suivre un chemin d'éveil, à élargir ma conscience, et à réintégrer mes mémoires dans le corps pour libérer phobies, angoisses et masques sociaux. du moins ceux qui me desservent. En accueillant mes troubles, en me décollant aussi des étiquettes souvent déformées – hypersensible, TSA, TDAH, THPI – j’ai pu sortir de ce handicap du lien et trouver de nouvelles manières de communiquer et de me relier à mon environnement extérieur, dans la fluidité quand c’est possible, et en conscience quand il est nécessaire de protéger l'espace de la relation.

Après vingt ans de déconstruction et de reconstruction intérieure, j’ai voulu créer un espace sûr pour les femmes qui, comme moi, souhaitent :

Ce groupe privé est un lieu de soutien, de partages et de compréhensions, et une possibilité à rejoindre mes sessions ou d'accompagnement en présence ou à distance. 

L'intention posée sur le groupe est que chaque femme puisse avancer vers une parentalité et des relations nourries par la confiance plutôt que par la peur.

J'envoie régulièrement et de manière grâcieuse de l'énergie sur cette intention, et toute femme qui s'autorise à recevoir reçoit également cette énergie.

Rejoindre le groupe : https://urlr.me/wSUNde Partagez-le à toute femme que cela pourrait aider.